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Contactez-nousLe gouvernement indien a approuvé mercredi soir l'achat à la France de 36 avions de combat Rafale du groupe Dassault, plus grosse commande à l'exportation pour l'avion de combat français.
"Alstom c'est Belfort, Belfort c'est Alstom. Alstom vivra": des centaines de personnes ont manifesté jeudi pour réclamer le maintien de l'usine, sous la pluie, en colère, mais aussi avec une once d'espoir que les 400 emplois soient sauvés.
L'intersyndicale (CFE-CGC, CGT, CFDT, FO) d'Alstom a appelé mercredi tous les salariés du constructeur ferroviaire à débrayer le 27 septembre contre le projet d'arrêt de la production de trains à Belfort, ont indiqué à l'AFP des représentants des quatre syndicats.
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Contactez-nousLe gouvernement a engagé des discussions tous azimuts sur l'avenir du site d'Alstom à Belfort, menacé d'un transfert massif d'activité, pour tenter de trouver au plus vite une solution à un dossier empoisonné à huit mois de la présidentielle.
Ils sont "prêts à "se battre" et croient "encore possible" un maintien du site d'Alstom à Belfort: la colère monte chez les "Alsthommes" - les quelque 400 salariés de l'usine - qui promettent une grande mobilisation jeudi.
La direction du constructeur ferroviaire Alstom a affirmé mardi qu'"aucune décision" ne serait prise avant la fin des discussions engagées avec le gouvernement français sur l'avenir de son site de Belfort.
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Contactez-nousLe secrétaire d’État à l'Industrie, Christophe Sirugue, "se donne dix jours pour apporter des réponses" aux quelque 400 salariés de l'usine Alstom de Belfort, menacée de quasi-fermeture, ont déclaré plusieurs syndicats à l'issue d'une rencontre mardi à Bercy.
Après le PDG d'Alstom, le maire de Belfort, c'est au tour des syndicats du constructeur ferroviaire d'être reçus mardi par le gouvernement, qui a promis d'aider à apporter "des commandes" pour maintenir la production de trains à Belfort.
Les éditorialistes fustigent mardi l'exécutif pour sa conduite du dossier Alstom, lui reprochant notamment de ne pas avoir anticipé la situation et de réagir avec "un train de retard".
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Contactez-nousL'usine de Belfort, où Alstom projette d'arrêter la fabrication de trains d'ici 2018, restera un site de production "dans les mêmes proportions qui existent aujourd'hui", a assuré lundi soir Alain Vidalies, le secrétaire d'Etat chargé des Transports.
"Nous devons apporter des commandes" à Alstom, qui projette la fermeture de son site de Belfort, a affirmé lundi après-midi le président François Hollande lors de la visite d'un organisme de formation dans les Yvelines.
François Hollande a fixé lundi matin comme "objectif" le maintien des activités ferroviaires d'Alstom à Belfort, lors d'une réunion de crise à l'Elysée sur l'avenir du groupe, a déclaré le ministre de l'Economie Michel Sapin à l'issue de cette réunion.
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Contactez-nousCondamnation du Premier ministre et réunion interministérielle lundi matin à l’Élysée: après l'annonce par Alstom de l'arrêt de la production de trains à Belfort, l'exécutif met la pression sur le groupe industriel, dont l’État est actionnaire minoritaire, alors que l'opposition s'immisce dans le débat.
Manuel Valls a jugé dimanche "inacceptable" la "méthode" employée par le groupe de matériel ferroviaire français Alstom qui veut arrêter sa production de trains à Belfort, à la veille d'une réunion lundi matin à l'Elysée.
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