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Deux coordinateurs syndicaux d'ExxonMobil étaient assignés devant le tribunal, jeudi 27 juin. Une façon pour la direction de demander à la justice de trancher sur la légalité des barrages filtrants mis en place devant la raffinerie, depuis quelques jours.
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Après une semaine de barrages filtrants qui perturbent l'accès des salariés et sous-traitants au sein de la raffinerie ExxonMobil, la direction demande à la justice de trancher. Deux coordinateurs syndicaux sont convoqués au tribunal du Havre, jeudi 27 juin.
L'accès à la raffinerie ExxonMobil et plus globalement à la zone industrielle de Port-Jérôme-sur-Seine est très compliqué, mercredi 19 juin. Des barrages filtrants sont mis en place par des salariés en grève contre les suppressions de postes annoncées par l'industriel.
A la suite de l'annonce de l'arrêt du vapocraqueur du site pétrochimique d'ExxonMobil à Port-Jérôme-sur-Seine, les négociations se poursuivent. La direction annonce de nouvelles mesures pour faciliter les départs anticipés à la retraite.
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Mercredi 29 mai, les syndicats ont décidé de suspendre la grève sur le site d'ExxonMobil à Port-Jérôme-sur-Seine. Le mouvement fait suite à l'annonce de la fermeture du vapocraqueur. La grève est suspendue jeudi 30 mai le temps des négociations.
Un mouvement de grève touche l'usine ExxonMobil depuis vendredi 24 mai, alors que les négociations ont débuté dans le cadre du plan de sauvegarde de l'emploi. Le groupe américain prévoit de supprimer 647 postes sur son site de Gravenchon.
Virginie Carolo-Lutrot, maire de Port-Jérôme-Sur-Seine et présidente de Caux Seine agglo, est l'invitée de Normandie politiques sur BFM Normandie, jeudi 2 mai à 19h30, en partenariat avec Tendance Ouest.
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A l'appel des élus de Caux Seine Agglo, un rassemblement a réuni plus de 500 personnes à la mairie de Lillebonne, vendredi 19 avril, en soutien aux salariés d'ExxonMobil où 647 postes sont menacés.
L'annonce de la fermeture définitive de plusieurs unités de l'usine pétrochimique d'ExxonMobil crée une vive émotion à Port-Jérôme-sur-Seine. Au total, 647 postes seront supprimés.
ExxonMobil Chemical France annonce l'arrêt définitif en 2024 du vapocraqueur et de ses unités aval, c'est-à-dire la chaîne de production de matières plastiques. A Port-Jérôme, 647 emplois sont supprimés, ainsi que 30 postes au siège. La raffinerie n'est pas impactée.
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Atmo Normandie, association agréée de surveillance de la qualité de l'air dans la région, étudie les potentiels impacts de l'incendie survenu sur la raffinerie ExxonMobil de Notre-Dame-de-Gravenchon, lundi 11 mars.
Un feu s'est déclaré sur le site d'ExxonMobil de Notre-Dame-de-Gravenchon, lundi 11 mars. Le plan d'opération interne a été déclenché.
Même pendant le confinement, la production se poursuit sur la plateforme ExxonMobil de Notre-Dame-de-Gravenchon. Elle produit moins d'essence mais plus de fuel domestique. La demande est aussi forte pour en emballages alimentaires et en plastiques médicaux.
Du dimanche 12 au samedi 18 avril, la plateforme ExxonMobil de Notre-Dame-de-Gravenchon (Seine-Maritime) arrête des unités d'Esso Raffinage. L'industriel indique que des épisodes de torche et de bruit pourraient être perceptibles par la population.
Mardi 27 août 2019 à 7 heures 20, la plateforme ExxonMobil de Notre-Dame-de-Gravenchon (Seine-Maritime) a déclenché son Plan opérationnel interne (POI) à cause d'une fuite de gaz. Les accès de l'ensemble de la raffinerie sont fermés ce qui provoque quelques perturbations de circulation sur le secteur. Les équipes internes sont en train de colmater la fuite.
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