Pour les membres de la formation spécialisée en matière de santé, sécurité et conditions de travail (F3SCT) qui siègent pour le comité de pilotage violence (Copil) au centre hospitalier intercommunal d'Alençon-Mamers (CHICAM), "il y a les paroles et il y a les actes." En 2021, l'établissement s'était engagé contre la violence sur le CHICAM. Les syndicats dénoncent, en 2025, une politique non appliqué et une "maltraitance institutionnelle".
Violence verbale et retards de salaires
Mardi 4 novembre, plusieurs membres de la F3SCT ont symboliquement découpé leurs signatures sur le document signé en 2021. Les syndicats dénoncent notamment des suppressions de postes et de lits, de la violence verbale, des salaires versés en retard ainsi que des départs en retraite non remplacés.
La direction du CHICAM n'a pas souhaité faire de commentaire sur la situation. Jeudi 23 octobre, les syndicats CGT et Force ouvrière avaient lancé une grève illimitée pour exprimer leur mécontentement.
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