La façade colorée et les lignes futuristes du 108, futur siège de la Métropole, font presque déjà partie du paysage des quais de Rouen (Seine-Maritime). Le chantier n'est pas encore tout à fait terminé mais il devrait être livré à la fin du mois de juin.
Prouesse technique et architecturale
"Les travaux sont dans les temps fixés, assure Frédéric Boyere, responsable des travaux à la direction des bâtiments de la Métropole Rouen Normandie. Certaines zones sont déjà presque finies, il reste essentiellement des travaux de revêtement de sol et d'électricité."
La dernière pierre n'est pas encore posée mais ce chantier exceptionnel est déjà pour lui une belle réussite. "Le projet a demandé un lien fort entre l'architecte et les bureaux d'étude mais finalement l'équipe de maîtrise d'oeuvre a réussi le pari de construire un bâtiment emblématique et performant techniquement, raconte le responsable des travaux.
Une première en France
"Le bâtiment présente une accumulation de deux objectifs assez rares, qui à notre connaissance n'a jamais été réalisée en France", poursuit-il. Le hangar 108 sera tout d'abord labellisé PassivHaus, - "c'est-à-dire qu'il consomme notamment très peu d'énergie électrique, a de faibles besoins de chauffage (du triple vitrage a été installé sur tout bâtiment et l'isolation renforcée) et qu'il présente une étanchéité très performante".
Surtout, il produit "autant d'énergie que l'on en consomme sur l'année". Pour atteindre ces objectifs, 2 000 m2 de panneaux photovoltaïque ont été installés sur le bâtiment.
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Aussi hideux que le Panorma 360 ! ça fait tâche dans le décor, on se croirait dans les années 70!
Prouesse technique !!! Bravo, cet édifice ne sera jamais terminé. La technologie est tellement médiocre et de si mauvaise qualité que les coûts de maintenance sont faramineux. Rien ne fonctionne et rien ne fonctionnera jamais : stores, fenêtres, lumières en fonction du temps exterieur; Quand un store ouvre il faut une nacelle pour le remettre droit, idem pour les fenêtres. Et puis parlons du nettoyage des panneaux solaire, des vitres....
Et le label de bâtiment passif qu'ils veulent obtenir, ils vont finir par payer pour l'avoir.
C'est encore nos impôts qui paient tout cela, bravo.
25 millions pour une construction qui ne fonctionnera jamais.