Depuis l'annonce faite par le groupe finlandais UPM-Kymmene visant à supprimer 552 emplois dans la totalité du groupe et 196 à Grand-Couronne, les élus se mobilisent. Nicolas Mayer-Rossignol, Guillaume Bachelay et Didier Marie rappellent "l'appareil productif d'excellence" et les "salariés aux savoir-faire reconnus" de l'usine qui fabrique du papier pour les journaux et magazines.
Les trois élus locaux demandent à Manuel Valls de réunir une table ronde réunissant pouvoirs publics et acteurs privés pour réfléchir à l'avenir de la filière bois/papier, au-delà du seul cas de la Chapelle-Darblay. En Normandie, cette filière représente à elle seule 10 000 emplois.
Pour le site de Grand-Couronne, la suppression de 196 emplois sur les 367 existants serait un véritable désastre.
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