Froid dans le dos

Retrouvez l'actualité sur froid dans le dos avec Tendance Ouest

Au grand refuge de la SPA, des chevaux maltraités reprennent goût à la vie

Le poil terne, le dos creux, les chevaux aveugles Marcus et Titus mais aussi le vieil âne Oliver et la ponette Lili, victimes de mauvais traitements, reprennent peu à peu goût à la vie au Grand Refuge pour équidés de la SPA en Normandie.

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Hors Normandie. Votre horoscope signe par signe du samedi 23 mars

Tous les jours sur Tendance Ouest, découvrez votre horoscope avec Alain

Publié le 23/03/2019 à 06h00

Algérie: après l'euphorie, le doute

Après l'euphorie, le doute. Les Algériens s'interrogeaient mardi sur le report de la présidentielle d'avril qui prolonge de facto le mandat du président Abdelaziz Bouteflika, cible d'une contestation inédite en 20 ans de pouvoir.

Publié le 12/03/2019 à 04h25

Le-Havre. Ligue 2 : des chiffres accablants pour le HAC

Avant son déplacement à Béziers (Hérault), vendredi 8 mars 2019, Le Havre AC (Seine-Maritime) présente des statistiques indignes d'un prétendant à l'accession. Focus sur les plus alarmantes.

Publié le 08/03/2019 à 16h04

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Hors Normandie. Votre horoscope signe par signe du mercredi 13 février

Tous les jours sur Tendance Ouest, découvrez votre horoscope avec Alain.

Publié le 13/02/2019 à 06h00

Hors Normandie. L'horoscope signe par signe de ce mercredi de la St Valentin

Tous les jours sur Tendance Ouest, découvrez votre horoscope avec Alain dans Normandie Matin à 5h25, 6h25, 7h25 et 8h25.

Publié le 14/02/2018 à 08h28

"Non c'est non": les femmes contre le harcèlement au carnaval de Rio

"Non c'est non", dans le sillage de la campagne #MeToo lancée après l'affaire Weinstein aux Etats-Unis contre le harcèlement des femmes, les Brésiliennes se sont mobilisées à l'occasion du carnaval où les agressions sont innombrables.

Publié le 10/02/2018 à 12h40

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Une peine de quatre ans de prison requise contre Jawad Bendaoud

Une peine de quatre ans de prison a été requise mardi contre Jawad Bendaoud, le procureur estimant qu'il n'y avait "pas assez d'éléments" pour affirmer qu'il savait que les deux hommes qu'il hébergeait étaient des jihadistes des attentats du 13 novembre 2015.

Publié le 06/02/2018 à 17h10

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