"Nous avons suspendu le mouvement jusqu'à mardi, mais restons en situation d'alerte permanente", évoquait jeudi 29 janvier Jean-Marc Lambert, secrétaire général CGT-transports de Normandie.
Mardi 3 février, le processus de négociation entre syndicats et patronats au niveau national devrait reprendre. "Si les patrons ne nous donnent pas ce que nous demandons, nous nous dirigeons vers une situation de blocage plus ferme que précédemment." Les routiers demandent toujours des hausses de salaire de 5%.
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