Le premier propriétaire du chien, identifié grâce à la puce électronique trouvée sur l'animal, pourrait être condamné à 3 mois avec sursis pour mise en danger de la vie d'autrui.
Le second propriétaire est lui visé par le parquet pour coups et blessures involontaires ayant entraîné des ITT de moins de trois mois ainsi que pour des infractions à la cession et détention de chien dangereux. Le parquet réclame contre lui 6 mois de prison avec sursis.
Leurs avocats ont plaidé la relaxe.
Avec AFP.
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