Dans le jargon, on les appelle les tissus enduits techniques. Comprenez : ces textiles entourés de caoutchouc, synthétique ou naturel, capable de protéger contre les éclats brûlants, les flammes ou les liquides toxiques. On les retrouve dans des scaphandres de protection, les bottes, l’undistrie de pointe, l’automobileou l’architecture.
Après une année 2013 médiocre, les perspectives sont bonnes pour 2014 et 2015. “En 2012, notre chiffre d’affaires atteignait 6,8 millions d’euros, nous espérons qu’il dépasse 8,5 millions en 2014”, expose Claude Maât, le directeur de l’usine. Grâce à l’innovation et à l’exportation.
Innover, toujours
Si Bobet n’exporte que depuis 1984, les ventes à l’étranger représentent désormais 60 % de l’activité. Un plan d’investissement de 700 000 € va prochainement permettre la modernisation du site et l’embauche de deux personnes. Dans sa cellule “recherche et développement”, Bobet Group ne manque pas d’idées. Il se lancera bientôt dans la protection anti-nucléaire.
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