Une substance, la Nitrosomorpholine, avait été repérée dans la nappe souterraine du secteur de Bolbec-Gruchet le Valasse. Considérée comme potentiellement cancérigène en cas de consommation quotidienne prolongée, des recommandations de non-consommation d'eau avaient été faites dans le secteur de Bolbec-Gruchet. En parallèle, des travaux de recherche ont été menés afin de déterminer quelles étaient les sources de pollution et les éliminer. Près de 6000 habitants, sur les 20 000 concernés, ont été raccordés à d'autres sources non polluées.
La préfecture de Seine-Maritime a fait savoir, ce jeudi 18 octobre, que la consommation d'eau dans le secteur du Bolbec n'est pas soumise à restriction.
A la suite d'analyses, il est apparu que la concentration de cette substance dans les captages effectués à Yport n'obligeait pas à des recommandations de non-consommation des eaux distribuées dans la communauté d'agglomération havraise (CODAH). Cependant, des analyses seront régulièrement faites.
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