La députée de Seine-Maritime, Agnès Firmin Le Bodo, membre du groupe de la majorité présidentielle, a révélé ce dimanche 2 janvier, sur Twitter, avoir reçu un mail de menaces de mort, la veille. Un message court mais vindicatif signé "Liberteforte" avec pour objet la phrase suivante : "Je pense sérieusement à te décapiter."
Des propos d'une violence extrême qui ont bien sûr fait réagir la parlementaire havraise. Cette dernière a accompagné la copie d'écran du mail d'un message clair : "Aucune menace ne dictera ma façon de voter. Il ne faut rien laisser passer, ne pas s'habituer. Face à cette montée de violence envers les élus, il est urgent que la classe politique dans son ensemble agisse. C'est bien notre démocratie qui est en danger."
Aucune menace ne dictera ma façon de voter. Il ne faut rien laisser passer, ne pas s'habituer. Face à cette montée de violence envers les élus , il est urgent que la classe politique dans son ensemble agisse. C'est bien notre démocratie qui est en danger ⚠️. pic.twitter.com/mudRybuEwE
— Agnes Firmin Le Bodo (@agnesfirmin) January 2, 2022
Fin décembre, plusieurs dizaines de députés de plusieurs groupes avaient également été la cible de menaces. Parmi eux, le Manchois Bertrand Sorre et l'Ornaise Véronique Louwagie. Comme eux, Agnès Firmin Le Bodo a immédiatement porté plainte.
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Je ne suis pas d'accord avec ces individus qui profèrent des menaces de mort mais il faut que les personnes concernées se rendent compte que beaucoup de gens sont fatigués d'entendre tant de contre-vérités à propos du Covid, des bilans truqués par l'institut national de la statistique à la botte du gouvernement