L'annonce a fait l'effet d'un immense soupir de soulagement dans les foyers de sportifs normands comme partout en France. Cette fois, c'est acté, les sports collectifs reviennent sur le devant de la scène et peuvent officiellement reprendre vie après 100 jours d'interruption liés au coronavirus. Des milliers de licenciés en football, handball, volley, basket ou encore rugby vont enfin pouvoir retrouver leurs terrains et, surtout, leurs équipiers, entraîneurs et dirigeants de club.
Les sportifs en liberté surveillée
Car bien au-delà de pouvoir pratiquer à nouveau son sport favori, c'est bien de retrouvailles et de rebond social dont il va s'agir dans les prochains jours. Sevrés de toute relation fraternelles, les sportives et sportifs de tous horizons vont à nouveau pouvoir mettre leurs talents au service de leur équipe, pour aller aplatir des essais, smasher, envoyer des coups de canons à 9 mètres ou expédier des lucarnes à 25 mètres. Mais cette libération est-elle définitive, bien que toujours conditionnelle dans sa forme ? Non. Partout dans la région, des clusters reviennent. Le virus circule à nouveau et la cote d'alerte est même de nouveau atteinte en Normandie. La solution ? Reconfiner ? Pas forcément. Déjà, et c'est la clé essentielle, le respect des gestes barrières. Eux seuls peuvent éviter qu'à nouveau, tout s'arrête. Et de ça, personne n'en veut.
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