Créée en 1986, elle vient en aide aux traumatisés crâniens, victimes d’un handicap invisible : Les apparences demeurent, mais des troubles du caractère, de la mémoire ou de l’équilibre apparaissent.
Egalement, un soutien aux proches
Il s’agit pour Alice Barrellier, secrétaire de l’AFTC et avocate, "de réduire le fossé entre les handicapés moteurs, les handicapés cérébraux et les valides" mais aussi d’apporter un soutien à ceux, totalement démunis face à la maladie de leur proche.
Depuis peu, l’association a embauché deux éducatrices spécialisées qui encadrent les malades pendant les activités : randonnées, couture, cuisine, fabrication d’une lampe à galets ou balade sur l’île de Tatihou, "toujours avec un côté ludique qui plait beaucoup" expliquela secrétaire de l’association qui compte aujourd’hui 80 adhérents.
Pratique. Tél. 02.31.65.43.59. Internet : www.traumacranien.org
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