"Il y a un droit de manifester. Il faut le respecter, même dans cette période d'état d'urgence. Mais les violences sont inadmissibles, aucune cause ne peut justifier une telle violence", a déclaré à la sortie de la réunion du groupe socialiste à l'Assemblée le Premier ministre, qui devait recevoir à 12H15 à Matignon une délégation d'organisations professionnelles de taxis.
						
						
																	
					
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