Cette nuit-là, Ludovic Pavie renouait avec son fils Christopher, 17 ans,et avait consommé de l’alcool. Dans le même temps, il s’était rendu devant l’immeuble où l’accusé partage un appartement en colocation avec un ami et avait entrepris d’y jeter des cailloux. Exaspéré, (son colocataire avait déjà eu des ennuis avec Ludovic Pavie, réputé pour avoir un alcoolisme “agressif”), l’accusé était descendu torse nu dans la rue, armé d’une batte de base-ball. Christopher aura les deux poignets cassés.
Coup à la tête
Son père, lui, tombe au sol, inanimé. Il ne survivra pas à un coup porté à la tête et ce, bien que l’accusé se soit précipité à la gendarmerie de Thury-Harcourt pour signaler les faits. Pourquoi l’auteur des coups, qui comparaît sous contrôle judiciaire (donc libre) est-il descendu armé au lieu de prévenir les forces de l’ordre du comportement de la victime ? C’est la question à laquelle la Cour d’assises doit répondre. Le verdict est attendu aujourd'hui.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.