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Contactez-nousRetrouvez l'actualité sur condé sur sarthe avec Tendance Ouest | Page 3
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Contactez-nousLeur pédigrée fait froid dans le dos. Deux détenus du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe près d'Alençon (Orne) seront jugés jeudi 10 octobre 2019 au palais de justice de la cité ornaise.
La compagne d'un codétenu de l'auteur présumé de l'attaque jihadiste au couteau en mars à la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne), a été mise en examen vendredi 20 septembre 2019.
Mercredi soir 18 septembre 2019, les assises de l'Orne ont condamné Cheikh Kane à 8 années de prison auxquelles s'ajoutent 5 ans de suivi sociojudiciaire : ce détenu âgé de 31 ans, avait très brièvement pris 2 surveillants du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe près d'Alençon (Orne) en otage le 4 janvier 2016. Il les avait menacé de mort avec une arme artisanale. Lors de ses réquisitions, l'avocate générale a souligné un début de radicalisation du condamné. En récidive légale, le détenu encourait la réclusion criminelle à perpétuité. Au menu des assises de l'Orne à partir de ce jeudi matin 19 septembre : un procès pour viol par ascendant, sur mineur de 15 ans. Le verdict est attendu vendredi 20 septembre.
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Contactez-nousMardi 17 septembre 201, cinq femmes ont été placées en garde à vue dans l'enquête sur l'attaque au couteau survenue le 5 mars 2019 au sein de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne).
Pour une prise d'otage qui a duré deux minutes, un détenu du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, près d'Alençon (Orne), encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Il est jugé mardi 17 et mercredi 18 septembre 2019 devant les Assises de l'Orne.
Mardi 10 septembre 2019, 2 détenus du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, près d'Alençon (Orne) devaient être jugés devant le tribunal correctionnel de la ville pour des dégradations dans leurs cellules, mais aussi pour des menaces de mort sur le personnel pénitentiaire et pour apologie de terrorisme. Mais leur avocat était retenu sur une autre affaire et leur procès a été renvoyé au mois d'octobre 2019. Seul, l'un des deux a finalement pu être jugé en comparution immédiate, pour un seul fait.
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Contactez-nousCondé-sur-Sarthe a son adresse pour les lunettes: Général d'Optique propose un large choix. L'espace est récent, avec des équipements innovants pour mieux vous équiper.
Depuis l'installation du téléphone dans les cellules des détenus, la situation se complique dans les prisons. C'est le cas au centre pénitentiaire de Condé-Sur-Sarthe, près d'Alençon (Orne). Selon le personnel, les détenus passent des coups de fil jour et nuit. Tout contrôle deviendrait impossible...
Abdelkader Merah, le frère du terroriste Mohamed Merah, condamné à 30 ans de réclusion pour complicité, est désormais incarcéré au quartier de déradicalisation du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, près d'Alençon (Orne).
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Contactez-nousMardi soir 29 juillet 2019, un détenu du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe près d'Alençon (Orne) s'en est pris à 4 surveillants, à l'heure du dîner. Pourtant pas connu pour être radicalisé, il a crié Allah Akbar, avant d'affirmer son allégeance à Daesh...
Une "prison dans la prison" hautement sécurisée en plein coeur de Paris: la maison d'arrêt de la Santé a ouvert un quartier de prise en charge des détenus radicalisés, troisième du genre en France et "totalement étanche" du reste de la détention.
le détenu qui a pris en otage durant cinq heures deux surveillants mardi 11 juin 2019, à la prison de Condé-sur-Sarthe, dans l'agglomération d'Alençon (Orne), a été mis en examen ce jeudi 13 juin 2019.
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Contactez-nousDes surveillants de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne) ont manifesté et refusé de prendre leur service mercredi pour demander des "réponses concrètes" en termes de sécurité et en soutien à leurs collègues, au lendemain d'une nouvelle prise d'otages de deux d'entre eux par un détenu, dans ce centre pénitentiaire ultra-sécurisé.
Mercredi matin 12 juin 2019, une cinquantaine de surveillants de l'équipe de jour du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, près d'Alençon (Orne) refusent de prendre leurs postes, au lendemain de la prise d'otage de deux d'entre eux par un détenu multirécidiviste.
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