Le message est clair : "le Laboratoire Gilbert est solidaire de la mobilisation voulue par le MEDEF pour la croissance et l'emploi".
Dans un courrier d'une page, Laurent Batteur décrit : "à force de devoir subir chaque année de multiples contrôles d'ordre administratif, c'est toute l'énergie, l'enthousiasme et le dynamisme des chefs d'entreprises et de l'ensemble de leurs salariés qu'on maltraite". Pour la seule année 2014, le groupe Batteur a en effet par exemple enregistré près d'une dizaine de contrôles.
"De grâce, ne multiplions pas les tracasseries administratives à la limite du harcèlement qui freinent ce développement, qui nous pénalisent fortement et nous empêchent d'aller de l'avant, en démotivant en parallèle l'ensemble de nos salariés (...) Trop de charges, trop de taxes, trop d'impôts finissent par tuer l'initative, le dynamisme", poursuit le patron.
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