Ils dénoncent un manque de moyens et de personnels pour accueillir ces détenus dangereux et assurer la sécurité tant des personnels que de la population.
Tous pointent du doigt le Préfet de l'Orne qui, selon eux, refuse le dialogue et les demandes répétées pour qu'un CHSCT (Comité d'hygiène, sécurité et conditions de travail) se réunisse.
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