Mauvaise nouvelle pour les neuf familles vivant à la Maladrerie, en ce vendredi 12 octobre. Toutes leurs requêtes ont été rejetées. La raison de ce rejet, évoquée par le juges des référés, est que l'Etat avait fait le nécessaire au niveau de la veille sociale qui est demandée par la loi.
Le problème est que l'hébergement d'urgence est saturé dans la capitale haut-normande. Une situation qui pourrait peut-être se débloquer à moyen terme : au cours du conseil municipal du 12 octobre, il a été annoncé que le gouvernement accordait une aide de 200.000€ pour l'hébergement d'urgence.
Un premier pas, que Matthieu Charlionet, adjoint en charge de la santé, à la mairie de Rouen et membre du PCF qualifie de "geste très insuffisant", ajoutant que cette somme "ne permettr(a) aucunement de faire face aux besoins".
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