Les faits remontent à mars 2020, il y a un an. Alors en pleine campagne pour les élections municipales, Joël Bruneau avait porté plainte à la suite de dégradations sur sa permanence, située rue Demolombe à Caen. Elles avaient eu lieu le dimanche 1er mars, après une manifestation contre l'application du 49-3. Le maire de Caen avait découvert une vitre brisée, l'intérieur vandalisé et des tags sur les murs extérieurs. Mercredi 3 mars 2021, trois personnes comparaissaient au tribunal correctionnel de Caen. Deux d'entre elles ont été relaxées. La troisième, "notamment auteure de tags", précise Amélie Cladière, la procureure de la République de Caen, a été condamnée à deux mois de prison avec sursis probatoire de deux ans.
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