Les faits se sont déroulés le 1er avril 2017. Un homme de 52 ans, alors numéro 2 de l'usine Renault Trucks de Blainville-sur-Orne, a tué un chien de la SPA de Verson, près de Caen. Du fait qu'il souffrait alors de lourds effets secondaires liés à la prise de médicaments, le tribunal correctionnel de Caen a requis contre lui un an de prison avec sursis ce mercredi 16 décembre. "Son discernement a été altéré et non pas aboli", par des effets secondaires de médicaments contre la maladie de Parkinson, a estimé Farouz Benharkat, substitute du procureur de la République de Caen, dénonçant "un acte d'une extrême violence sur un être vivant". À la barre, l'homme a reconnu avoir poignardé le chien mais affirme ne pas avoir eu l'intention de le tuer.
Ce père de famille, ingénieur, avait déjà été condamné en juin et juillet 2018 pour des actes de cruauté sur des chats.
Son avocate, Maître Dominique Mari, a plaidé l'abolition du contrôle des actes et donc la relaxe. La décision sera rendue le 22 février 2021.
Avec AFP
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