Rien n'est encore concrétisé mais les élus locaux ont bon espoir de trouver un repreneur pour l'outil industriel au sein de la Chapelle Darblay, à Grand-Couronne.
Deux pistes à l'étude
Les délégués syndicaux poursuivent les rendez-vous avec une crainte, que le groupe finlandais UPM ne veuille plus étudier de dossiers au-delà du 15 janvier, alors que l'outil industriel reste sur place jusqu'en juin. "Je ne désespère pas, nous avons deux pistes actuellement à l'étude", confie le président de la Région Normandie, Hervé Morin. L'un de ses acteurs se serait d'ailleurs rendu sur place récemment.
Si la piste d'un grand groupe étranger comme VPK n'est pas exclue, celle d'une entreprise de taille intermédiaire française aurait la faveur de certains élus.
"L'État sera à nos côtés s'il y a une solution et le gouvernement est attentif pour sauver l'entreprise", ajoute Hervé Morin qui a multiplié les contacts avec des chefs d'entreprise pour tenter de trouver un repreneur. Plusieurs rendez-vous vont arriver d'ici la fin de l'année pour les délégués syndicaux dont une rencontre avec le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, et avec le ministère de l'industrie.
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