C'est le 5 mars 2020 que la victime, compagnon de la prévenue, porte plainte à un commissariat de Rouen pour menace de mort à l'aide d'un revolver. La scène s'est déroulée deux jours plus tôt et l'homme a dû se faire violence pour dénoncer cet acte. Ce n'est pourtant pas la première altercation qui divise le couple, car il dit être harcelé ainsi depuis longtemps.
Elle voulait "faire peur"
Cette fois, il a eu peur, ne sachant pas si l'arme était factice ou réelle. Aucun événement notable ne justifie ce geste, selon lui. Entendue, la prévenue nie les menaces de mort et dit avoir simplement voulu faire peur. Pour le ministère public, "les faits sont graves", mais la défense dénonce "une accusation fantaisiste". Elle écope de quatre mois de prison avec sursis.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.