De nombreux cas de coronavirus ont surgi cette semaine à Pékin : leur dépistage a mis en quarantaine dix quartiers de la capitale. Origine de cette “deuxième vague” : un méga-marché alimentaire de produits frais, notamment de saumon. Cette nouvelle a alourdi les angoisses d'une Europe qui se rêvait sortie d'affaire. D'autant que l'épidémie tourne à la catastrophe au Brésil, et que les États-Unis restent dans le rouge…
Sous ce climat d'anxiété, une autre nouvelle fait luire un espoir : les laboratoires anglo-suédois AstraZeneca pourraient livrer à l'Europe 400 millions de doses d'un vaccin Covid-19 à partir de la fin 2020. Quatre pays de l'UE dont la France ont signé une précommande de principe, dans l'intention de distribuer le produit dans toute l'Union. Pour que ce vaccin puisse être commercialisé, encore faut-il que son efficacité – fermer nos cellules au virus – soit établie et validée : or sa mise au point, pour l'instant, n'est que “prometteuse”. Olivier Véran insiste sur la nécessité de “ne pas dépendre d'un seul projet”.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.