Le 5 janvier 2017, la grand-mère maternelle de la victime fait un signalement au procureur de la République pour dénoncer les violences subies par son petit-fils. Des faits qu'elle impute au prévenu, le compagnon de sa fille. Deux jours plus tôt, alors qu'elle quittait son domicile au Petit-Quevilly pour aller travailler, l'enfant se retrouve seul avec le mis en cause. Il ne tarde pas à se plaindre de douleurs au corps et aux parties génitales. Deux jours plus tard, la grand-mère décide de son hospitalisation, où les médecins constatent des lésions sur le corps, suspectant des coups portés ainsi qu'une grande souffrance psychoaffective.
L'enseignante soupçonne des mauvais traitements
Sa mère est entendue ainsi que sa maîtresse d'école, qui soupçonne des mauvais traitements. Le prévenu, lui, soupçonne la mère de l'enfant, puisqu'il avait souillé son lit ce matin-là. Pour la partie civile, "rien n'est accidentel", et le ministère public note que "persister dans le déni est peu glorieux". L'homme est finalement condamné à une peine de douze mois de prison avec sursis probatoire de deux ans.
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