Philippe Bertin habite en plein centre-ville, au dessus d'une boucherie. Le journaliste aux semelles de vent est rassuré quand il entend le boucher en bas de chez lui qui ouvre sa devanture "tant que l'appétit va, tout va". Un boucher, un bureau de tabac-presse,... Les petits commerçants de sa rue sont rassurants. Tant qu'ils sont là, et qu'ils ne renoncent pas, c'est qu'il y a de la vie.
Les "Carnets d'un confiné" sont diffusés tous les jours à 8h05 sur la radio Tendance Ouest et disponibles en podcast.
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