Un groupe d'experts de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a conclu qu'EDF ne pouvait pas laisser en l'état, comme il le souhaite, huit soudures de l'EPR de Flamanville (Manche) et devra engager des travaux.
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L'électricien devra "réparer ces huit soudures", présentant des écarts de qualité et difficilement accessibles, ou bien apporter des "modifications au réacteur", a estimé le groupe permanent d'experts de l'ASN, selon une note d'information publiée jeudi 11 avril 2019.
Un nouveau retard ?
L'ASN doit prochainement rendre public son avis sur cette base.
De quoi, sans doute, provoquer un nouveau retard sur le chantier, entamé en 2007 pour une mise en service initiale en 2012.
Avec AFP
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