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Le chef de l'organisation Etat islamique (EI) en Afghanistan et au Pakistan, Hafez Saïd, a été tué dans une frappe américaine le mois dernier dans la province afghane de Nangarhar, selon le Pentagone.
La bataille d'Alep, la plus importante depuis le début en 2011 du conflit en Syrie, est cruciale pour le régime comme pour les rebelles mais elle risque de se transformer en une guerre d'usure où il est peu probable que l'un des deux belligérants l'emporte.
Les armes étaient visibles mais silencieuses mercredi dans la capitale sud-soudanaise Juba, où un cessez-le-feu décrété lundi soir, après quatre jours de combats, était respecté pour la deuxième journée consécutive, selon un correspondant de l'AFP.
Au moins 36.000 personnes ont été déplacées par les combats au Soudan du Sud depuis vendredi, a indiqué mardi l'ONU, après quatre jours d'affrontements meurtriers à Juba entre forces loyalistes et ex-rebelles.
Le président sud-soudanais Salva Kiir et son rival, le vice-président Riek Machar, ont répondu lundi à l'appel de la communauté internationale en décrétant un cessez-le-feu après quatre jours de combats meurtriers entre leurs troupes dans la capitale Juba.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a sollicité dimanche l'aide des pays de la région, leur demandant des Casques bleus supplémentaires, pour mettre fin aux combats au Soudan du Sud qui font fuir des milliers d'habitants de la capitale Juba.
Au moins 15 civils ont été tués et des dizaines blessés mercredi dans de nouveaux raids du régime syrien sur des quartiers contrôlés par les rebelles dans la ville d'Alep, dans le nord du pays, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Au moins 19 civils ont été tués dont six enfants jeudi dans des bombardements par les troupes du régime de quartiers sous contrôle rebelle dans la ville d'Alep, dans le nord de la Syrie, a indiqué la défense civile.
Au moins 20.000 enfants sont bloqués dans Fallouja et risquent le recrutement forcé par les jihadistes qui contrôlent cette ville d'Irak assiégée par les forces armées, a indiqué mercredi le Fonds de l'ONU pour l'enfance (Unicef).
Les forces kurdes appuyées par la coalition internationale ont ouvert un nouveau front contre le groupe jihadiste Etat islamique (EI) dans la province d'Alep dans le nord de la Syrie, pays ravagé par la guerre, a rapporté une ONG mercredi.
De violents combats opposant troupes du régime à la branche syrienne d'Al-Qaïda et ses alliés au sud de la ville d'Alep ont fait plus de 70 morts en moins de 24 heures, a indiqué une ONG vendredi.
Cinq roquettes tirées d'une zone en Syrie aux mains du groupe Etat islamique (EI) ont frappé dimanche la ville frontalière turque de Kilis (sud-est), y faisant un mort et 26 blessés, a annoncé le vice-Premier ministre turc, Yalçin Akdogan.
L'Azerbaïdjan et l'Arménie se sont mutuellement accusés de continuer les tirs malgré la trêve unilatérale annoncée par Bakou dans la région séparatiste du Nagorny-Karabakh, théâtre vendredi et samedi d'affrontements, les plus meurtriers depuis la fin de la guerre en 1994.
Des combats sporadiques entre forces azerbaïdjanaises et arméniennes avaient lieu dimanche à la frontière du Nagorny Karabakh, où se sont déroulés vendredi soir et samedi les affrontements les plus meurtriers depuis la fin de la guerre en 1994.
Les forces du régime syrien se sont emparées samedi matin de la localité d'al-Amariyah, à la lisière nord de Palmyre, où elles tentent d'encercler les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) qui ont pris le contrôle de cette ville du centre de la Syrie en mai 2015.