Le professeur Denis Agostini n'est pas né à Caen, mais en région parisienne. Président de la Fondation CHU Caen Normandie, cardiologue et médecin nucléaire, il est aussi passionné de tennis.
Quel est votre premier souvenir à Caen ?
"Je suis arrivé à Caen en 1978, pour y faire mes études de médecine, comme mon frère. Je me souviens évidemment de la grande tour du CHU, qui venait d'être construite. Je me souviens aussi de l'arrivée en train, et d'apercevoir les aciéries à Mondeville. C'était quelque chose de super étonnant."
Et votre meilleur souvenir ?
"Nous sommes en mars 1993, quand sur la piste de danse de Luc-sur-Mer, je rencontre ma femme. Nous avons depuis trois garçons, nés à Caen, et ils en sont fiers !"
Vous avez dirigé l'Open de Caen. Quel est votre meilleur souvenir lié au tennis ?
"En 2017, nous avions fait venir le trophée de la Coupe Davis au Zénith. C'était la première fois qu'il était présenté en région. On était comme des enfants. Je me souviens de la venue du trophée, avec un camion blindé, des agents de sécurité…"
Un nouvel hôpital sort de terre.
Vous avez hâte ?
"Le CHU de demain sera complètement différent de l'actuel. C'est un beau défi. En tant que chef de service de la médecine nucléaire, je veux avoir un service au top. Quand je dis au top, c'est le top européen. On a travaillé pour qu'il soit à la pointe essentiellement dans le domaine de la cardiologie nucléaire. Depuis une vingtaine d'années, le CHU est le leader européen dans le domaine. Beaucoup de gens viennent se former, du continent, de Chine… On a vraiment cette expertise, et il faut la faire perdurer."
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