Tout est parti de messages de menace d'attentat à la bombe circulant sur les réseaux sociaux et arrivés jusqu'en Normandie. Lundi 2 janvier, vers 23 h 30, une mère d'élève du lycée Jean Rostand se rend au commissariat pour signaler un message de menace qui circulait sur le réseau social Snapchat. À noter que "le lycée Jean Rostand n'était pas visé directement. Il n'était pas cité", explique une source policière.
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En raison des derniers évènements survenus au lycée l'an passé, la police prend la menace au sérieux. Le lycée étant fermé depuis deux semaines et aucune alarme, n'ayant détecté une quelconque présence dans l'établissement, la police en lien avec l'éducation nationale n'a pas estimé nécessaire de fouiller l'établissement à l'instant même. Le choix a été de placer des patrouilles toute la journée autour du lycée, mardi 3 janvier et de fouiller l'établissement le mardi soir "afin de contrôler que personne en cette rentrée n'avait déposé quelque chose".
L'internat et le lycée ont été fouillés pour lever le doute. Les élèves n'ont pas été évacués et ont pu poursuivre leurs cours. Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire.
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