A 30 ans, cette femme aux cheveux provisoirement roux et aux yeux bleus perçants avait été choisie par les organisateurs pour mener aux côtés d’Iris, cheval couleur d’ébène, un numéro spectaculaire de danse à cheval, proche de la voltige équestre.
“Petite, j’aimais les chevaux et la danse : la voltige m’a permis d’allier les deux...” Il y a 7 ou 8 ans, Alexandra Guy avait pourtant dû quitter la compétition suite à une blessure. Elle avait poursuivi ses études, obtenu son Master d’intelligence économique. Elle travaille désormais en agence de communication, mais n’a jamais mis sa passion de côté : elle consacre ses soirées et ses week-ends à danser avec les chevaux. S’astreint à une hygiène de vie plutôt stricte, et ne lésine pas sur la préparation physique. “Ca n’est pas une contrainte, pour moi. J’ai besoin de ça.” Quand elle est contactée, il y a plusieurs mois pour construire ce spectacle, la jeune femme accepte, “très reconnaissante”.
“C’est un cadeau de la vie”
"Cela devait être une parenthèse gracieuse et féminine dans la cérémonie. J’ai monté la séquence de figures, aidé par le chorégraphe de l’équipe de France Romain Bernard. On m’a fait entièrement confiance. Au milieu de ce grand stade, les sensations étaient magiques. Je prends ça comme un cadeau de la vie... C’est un rêve de petite fille." Plus aucun regret suite à sa carrière stoppée net : "Je n’étais pas faite pour la compétition. C’est le destin !" Que lui réserve-t-il ? Alexandra Guy n’en sait rien. "Une chose est sûre, j’aurais du mal à reprendre la vie normale après ça. J’attends la suite..."
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