"Quand il pleuvait, il était impossible de battre les Irlandais". Richard Hill.
"En 1987, avant de rencontrer l'Irlande lors du tournoi des 5 nations, on a peaufiné notre plan de jeu qui était basé sur beaucoup de jeu. Les quelques jours avant la rencontre il faisait très beau, ce qui favorisait notre stratégie d'envoyer au large. Les Irlandais avaient au contraire un jeu uniquement fondé sur les coups de pied et les chandelles. En faisant cela, ils jouaient et gagnaient des points sur les fautes de leurs adversaires, car le cuire est plus difficile à attraper lorsqu'il pleut. Juste avant le match, une tempête s'est levée et des trombes d'eau se sont abbatus sur le terrain. Forcément leurs coups de pieds se sont révélés efficaces, d'autant plus que notre arrière, a été mis KO dès la première minute. Quand il pleuvait, il était impossible de battre les irlandais. Aujourd'hui, ils sont beaucoup plus organisés et ils ont surtout l'habitude de jouer entre eux. La grande majorité des joueurs irlandais viennent seulement des deux provinces de Leinster et de Munster. Face à leur coups de pied, les ailliers et le 15 français, vont devoir d'une part attraper les ballons et les exploiter correctement."
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