Au sud-est du département de l'Orne, les touristes de passage cherchent souvent des chevaux percheron, dans le paysage. Mais ils sont trop rares.
Il est l'emblème de la région du Perche, mais il en reste très peu dans nos campagnes.
Pas de philanthropie, pour le réimplanter, il faut lui trouver un débouché économique. Ce 13 septembre 2016, le Parc Naturel régional du Perche a donc convié les élus à une démonstration de fauche d'herbe sur un secteur humide, inaccessible aux tracteurs.
Une machine venue de chez les Amish d'Amérique du Nord
Deux chevaux percherons y tractaient une sorte de débroussailleuse que Jean-Baptiste Ricard est allé chercher dans l'Ohio (Etat-Unis), chez les Amish, qui n'utilisent pas de tracteurs :
Ce passionné s’attelle à utiliser des chevaux percherons, pour préserver la race percheronne, préserver un savoir-faire, mais aussi créer des emplois: il sont sept salariés dans son entreprise, qui travaille dans toute la France :
A ce jour, il ne reste que quarante entreprises dans toute la France, à utiliser des chevaux percherons.
Brigitte Luypaert, vice-présidente du au Parc Naturel Régional du Perche en charge de l'agriculture, et Camille Henry, chargée de mission :
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