Retrouvez l'actualité sur les sujets violences policières avec Tendance Ouest
Le procureur général de la cour d'appel de Rouen a ordonné vendredi 9 octobre la reprise d'une enquête pour violences policières présumées, après une mobilisation des gilets jaunes à Rouen, fin 2018.
600 personnes, d'après les renseignements généraux, se sont rassemblées samedi 13 juin en début d'après-midi Place-du-théâtre à Caen contre le racisme et les violences policières, suite à l'appel national du collectif Adama Traoré. A Cherbourg-en-Cotentin, l'appel avait été lancé par le collectif "Justice pour tous", créé après la mort de George Floyd aux Etats-Unis, alors qu'il était interpellé par des policiers. Le collectif a dénombré une petite centaine de participants venus pour dénoncer toute forme de discrimination, tous invités à porter un masque ; seulement trente, selon la Préfecture de la Manche.
1 000 manifestants mobilisés selon les syndicats le samedi 13 juin, contre 2 à 3 000 le vendredi 5 juin. Un nouveau rassemblement, sans incident cette fois, a eu lieu ce samedi à Rouen (Seine-Maritime) en hommage à George Floyd. Une action contre le racisme et les violences policières de manière plus générale. George Floyd, c'est cet Afro-Américain, mort fin mai aux États-Unis, lors d'une interpellation des forces de l'ordre.
Le collectif "Justice pour tous" appelle à un rassemblement ce samedi 13 juin de 15 heures à 17 heures place Charles-de-Gaulle à Cherbourg, contre toutes formes de discrimination.
Le mardi 9 juin, à 18 heures, au moment où se déroulaient les obsèques de George Floyd aux États-Unis, un rassemblement se tenait devant l'hôtel de ville du Havre.
Des heurts ont éclaté samedi soir à Nîmes entre des supporters nîmois empêchés de se rendre à Marseille pour le match OM-Nîmes et les forces de l'ordre, déclenchant l'ouverture d'une enquête, a-t-on appris lundi auprès du parquet de Nîmes.
Des dizaines de milliers d'Indiens manifestent jeudi à travers le géant d'Asie du Sud malgré les interdictions de rassemblements dans de grandes parties du pays et les coupures d'internet, poursuivant la mobilisation contre une nouvelle loi sur la citoyenneté.
Jeudi 5 et vendredi 6 décembre 2019, les forces de l'ordre sont intervenues au Havre et à Harfleur (Seine-Maritime) pour mettre un terme à des mouvements sociaux dans le cadre de la mobilisation contre la réforme des retraites. Dans les deux cas, le comportement des forces de l'ordre est pointé du doigt.
Les manifestants pro-démocratie sont retournés dimanche dans les rues de Hong Kong après une brève période de calme, rare en près de six mois de contestation politique.
L'écrasante défaite des candidats pro-Pékin lors des élections de dimanche à Hong Kong traduit le "mécontentement" de la population, a reconnu mardi la cheffe de l'exécutif hongkongais, Carrie Lam, incapable d'enrayer la crise politique que traverse l'ex-colonie britannique depuis plus de cinq mois.
Les candidats pro-démocratie se dirigeaient lundi vers une victoire écrasante aux élections locales à Hong Kong, envoyant un message sans ambiguïté à Pékin sur le soutien des habitants à un mouvement de contestation sans précédent dans l'ex-colonie britannique.
Acte disproportionné ou "geste de défense"? Le parquet a requis jeudi trois mois de prison avec sursis à l'encontre du premier policier jugé à Paris pour des "violences volontaires" commises en marge du mouvement des "gilets jaunes".
Jugé pour avoir lancé un pavé en direction de "gilets jaunes" le 1er mai, un policier comparaît jeudi à Paris pour "violences volontaires", le premier procès d'un membre des forces de l'ordre après les nombreuses plaintes pour violences policières.
Des dizaines de manifestants pro-démocratie jusqu'au-boutistes restaient retranchés jeudi sur un campus de Hong Kong assiégé par la police, alors que l'adoption aux Etats-Unis d'une résolution de soutien aux protestataires menace d'enflammer les relations sino-américaines.