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Contactez-nousUn homme a été tué par balle dans la nuit de mardi à mercredi au sud de Beyrouth alors que les contestataires coupaient plusieurs routes à travers le Liban, après des déclarations du président Michel Aoun qui ont attisé leur colère.
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Contactez-nousLa Banque mondiale a appelé mercredi le Liban à former un nouveau gouvernement dans les plus brefs délais, au 21e jour d'un mouvement de contestation inédit contre la classe politique.
Des centaines d'élèves et d'étudiants ont refusé mercredi de reprendre les cours, préférant rejoindre le mouvement de protestation contre la classe dirigeante au Liban, où les manifestants ont organisé des sit-in devant des institutions publiques.
Le Premier ministre libanais Saad Hariri et son gouvernement ont démissionné mardi, déclenchant des scènes de liesse générales au 13e jour d'une révolte populaire inédite contre une classe politique accusée d'avoir laissé sombrer le pays.
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Contactez-nousLe Premier ministre libanais Saad Hariri et son gouvernement ont démissionné mardi, au 13e jour d'une révolte populaire inédite réclamant le départ de l'ensemble d'une classe politique qui a laissé couler le pays.
Des dizaines de milliers de Libanais ont formé dimanche une chaîne humaine le long de la côte du pays, sur 170 km du nord au sud, pour afficher leur unité et une détermination intacte à chasser la classe politique malgré les tensions qui montent.
Le bras de fer entre la rue et le pouvoir s'est prolongé samedi au Liban, avec des risques de dérapage soulignés par une montée de la tension entre l'armée et les manifestants après une démonstration de force du Hezbollah pro-iranien.
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Contactez-nousLe bras de fer entre la rue et le pouvoir se prolonge samedi au Liban, avec des risques de dérapage accrus par l'attitude menaçante du puissant Hezbollah pro-iranien qui a écarté à son tour la demande des manifestants d'un départ du régime.
Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a appelé vendredi ses partisans à déserter le centre de Beyrouth après des heurts avec des manifestants, au 9e jour d'une mobilisation inédite contre la classe politique qui paralyse le Liban.
Les Libanais semblaient déterminés mardi à ne rien lâcher, avec un sixième jour prévu de rassemblements contre la classe politique, l'annonce la veille de réformes économiques d'urgence n'ayant pas convaincu après des années d'inaction du pouvoir.
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Contactez-nousPar dizaines de milliers, les Libanais sont descendus dimanche dans la rue pour réclamer le départ d'une classe politique jugée inapte et corrompue, au quatrième jour d'un mouvement de contestation inédit dans un pays éprouvé par de longues années de difficultés économiques.
Hommes, femmes et enfants ont convergé en grand nombre dimanche vers le centre de Beyrouth, au quatrième jour d'un mouvement de contestation sans précédent au Liban qui réclame le départ de la classe politique accusée de corruption et de népotisme.
De nombreux Libanais se sont rassemblés samedi pour une troisième journée de manifestations contre l'incapacité d'une classe politique accusée de corruption à s'attaquer à la crise économique, un mouvement inédit depuis des années qui a paralysé le pays.
Les élections législatives ont débuté dimanche au Liban, les premières en près d'une décennie, mais le scrutin ne devrait pas bouleverser le fragile équilibre politique des partis au pouvoir, dans un pays mis à rude épreuve par le tumulte régional.
Que ce soit pour ses accouchements, l'éducation de ses enfants ou la collecte des déchets dans son camp de réfugiés palestiniens au Liban, Oum Mohamed dépend de l'UNRWA. Avec le gel de financements américains pour l'organisation, la situation s'annonce "catastrophique".
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