'File la caisse”, lui ordonne t-il. Le restaurateur abandonne ses deux sacoches contenant son ordinateur portable, son téléphone, son chéquier, ses papiers, sa carte bleue ainsi que sa recette du jour : 400 €.
En comparution immédiate vendredi 21 janvier, le procureur a pointé le travail des enquêteurs pour retrouver les deux agresseurs. En fait, l'un des deux n'a pas trouvé mieux que de se vanter de son forfait dans l'hôtel où il est logé par le 115. Il a ensuite été dénoncé et finalement confondu avec son acolyte. Son nom a aussi été retrouvé dans une armurerie où il a acheté le pistolet et la bombe lacrymogène.
Ces deux jeunes de 19 ans, en rupture familiale et sociale, se sont connus en foyer. Selon le procureur, il ne s'agit pas d'un coup de sang, mais d'une attaque bien préparée. Durant toute l'audience, Damien Bertout et Damien Lelièvre rient et prennent des poses désinvoltes. Le second, sans s'excuser, se justifie par un C'est normal qu'on est obligés de faire ça quand on n'a pas d'argent, ça faisait trois jours qu'on avait pas mangé( sic).
Ils ont tous deux été condamnés à trois ans d'emprisonnement. A l'énoncé de la peine, Damien Lelièvre s'écrie : C'est une justice de merde, y servent à rien ces cons là !, propos que la présidente demande à la greffière de noter et qui seront très certainement suivis d'effet dans les prochaines semaines.
En comparution immédiate vendredi 21 janvier, le procureur a pointé le travail des enquêteurs pour retrouver les deux agresseurs. En fait, l'un des deux n'a pas trouvé mieux que de se vanter de son forfait dans l'hôtel où il est logé par le 115. Il a ensuite été dénoncé et finalement confondu avec son acolyte. Son nom a aussi été retrouvé dans une armurerie où il a acheté le pistolet et la bombe lacrymogène.
Ces deux jeunes de 19 ans, en rupture familiale et sociale, se sont connus en foyer. Selon le procureur, il ne s'agit pas d'un coup de sang, mais d'une attaque bien préparée. Durant toute l'audience, Damien Bertout et Damien Lelièvre rient et prennent des poses désinvoltes. Le second, sans s'excuser, se justifie par un C'est normal qu'on est obligés de faire ça quand on n'a pas d'argent, ça faisait trois jours qu'on avait pas mangé( sic).
Ils ont tous deux été condamnés à trois ans d'emprisonnement. A l'énoncé de la peine, Damien Lelièvre s'écrie : C'est une justice de merde, y servent à rien ces cons là !, propos que la présidente demande à la greffière de noter et qui seront très certainement suivis d'effet dans les prochaines semaines.
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