Le couple parfaitement inséré qui se déchire ce jour là, se connaît depuis vingt ans. Le mariage a eu lieu après la naissance de leur dernier enfant qui a deux ans. L'homme présente un de ses amis de travail à son épouse, qui la séduit. Elle laisse alors à son mari les enfants et la maison. Mais, en attendant la fixation d'une résidence alternée par le juge aux affaires familiales, elle revient par deux fois au domicile conjugal. Le mari reprend espoir. Mais, à chaque départ de sa femme, les scènes de violences vont crescendo. Outre plusieurs différends, les 22 et 23 juin derniers, il la menace avec sa perceuse, d'abord sur la tempe, puis il menace de se suicider. Il n'accepte ni l'amant, ni le divorce.
La victime le répète à la barre : j'ai plus peur pour lui que pour moi et c'est par ailleurs un excellent père pour ses enfants. Le mari a confié à son avocate qu'il préférait désormais la voir heureuse avec un autre que malheureuse avec lui. Huit mois d'emprisonnement avec sursis sanctionnent le débat. Pendant 2 ans, il devra également se soigner.
La victime le répète à la barre : j'ai plus peur pour lui que pour moi et c'est par ailleurs un excellent père pour ses enfants. Le mari a confié à son avocate qu'il préférait désormais la voir heureuse avec un autre que malheureuse avec lui. Huit mois d'emprisonnement avec sursis sanctionnent le débat. Pendant 2 ans, il devra également se soigner.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.