Au prix de huit à dix heures d'entraînement par semaine, les nageuses caennaises progressent d'année en année dans une entité à l'ambiance familiale. Premier club de Normandie, troisième club du secteur grand-ouest, dix-septième club au niveau national, la section natation synchronisée de l'ASLCV, association sportive omnisports basée au Chemin Vert à Caen, grignote chaque saison quelques places supplémentaires. 'Quand j'ai repris ce club il y a 17 ans, il n'y avait plus que 30 nageuses, indique l'entraîneur principal, Magali Lebatteux. Aujourd'hui, il y en a 250, dont 180 qui viennent régulièrement.” Axé purement sur le loisir au départ, le club a ajouté de la compétition à la demande de ses licenciées. Et les résultats ont suivi. 'Nous évoluons tous les ans, apprécie Mickaël Lebatteux, président du club. Nous occupons une très bonne place par rapport à notre structure.” Champion de Normandie et vainqueur du tournoi de Nationale 3 au printemps, le club ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.
La rançon du succès
Du 7 au 10 juillet, les dix nageuses du ballet seniors et celles de l'équipe juniors joueront leur saison sur le tournoi national de qualification. Ce championnat de France déterminera les accession au niveau national, le deuxième échelon de compétition derrière l'Elite. Les trois premières équipes y parviendront. L'ASLCV compte bien en faire partie. C'est notre objectif, annonce Magali Lebatteux. Cependant, si on arrive à monter d'une division, ce ne sera pas simple à gérer. Il faudra notamment trouver de nouveaux créneaux d'entraînement pour rester compétitives. C'est la rançon du succès.
Et l'ASLCV, habituée à faire avec peu de moyens, l'a jusqu'à présent parfaitement gérée.
La rançon du succès
Du 7 au 10 juillet, les dix nageuses du ballet seniors et celles de l'équipe juniors joueront leur saison sur le tournoi national de qualification. Ce championnat de France déterminera les accession au niveau national, le deuxième échelon de compétition derrière l'Elite. Les trois premières équipes y parviendront. L'ASLCV compte bien en faire partie. C'est notre objectif, annonce Magali Lebatteux. Cependant, si on arrive à monter d'une division, ce ne sera pas simple à gérer. Il faudra notamment trouver de nouveaux créneaux d'entraînement pour rester compétitives. C'est la rançon du succès.
Et l'ASLCV, habituée à faire avec peu de moyens, l'a jusqu'à présent parfaitement gérée.
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.