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Ils avaient d'abord été mis en cause pour terrorisme, mais la qualification a été abandonnée: le procès de huit militants libertaires du "groupe de Tarnac", poursuivis notamment pour la dégradation d'une ligne SNCF il y a dix ans, s'est ouvert mardi à Paris.
Initialement inculpés en France pour des faits de terrorisme, huit militants libertaires du groupe de "Tarnac" comparaissent mardi, soit dix ans plus tard, pour la dégradation d'une ligne ferroviaire et des manifestations violentes, des accusations qu'ils réfutent, dénonçant un procès politique.
La Cour de cassation a définitivement écarté mardi la qualification terroriste pour les poursuites contre Julien Coupat et les autres membres du groupe de Tarnac.