Portraits en filigrane tracés au marqueur ou figures fantomatiques, cette série pose un regard grave et tendre sur ces personnes vieillissantes. D'autres séries postérieures permettent d'appréhender l'univers de l'artiste dans sa globalité. On y découvre des grands formats à l'aquarelle inspirés par Le dormeur du val de Rimbaud et un mur de petits formats fantasmagoriques où des silhouettes mi-humaines mi-animales semblent évoquer quelques contes étranges. Sophie Lebel tire parti de l'accident pour construire des poèmes imagés fascinants dans lequel il est plaisant de se perdre.
Pratique. Jusqu'au 3 juillet. Pavillon de Germont, CHU de Rouen. Gratuit. www.chu-rouen.fr
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