Retrouvez l'actualité sur les sujets sebastian kurz avec Tendance Ouest
Le jeune leader conservateur Sebastian Kurz, 33 ans, a remporté les élections législatives autrichiennes dimanche, selon les projections, signant son probable retour à la chancellerie, dans un paysage politique bouleversé par la débâcle de l'extrême droite et le plébiscite des Verts.
Après une crise politique inédite, l'Autriche vote dimanche et mise sur le chancelier sortant, Sebastian Kurz, pour prendre un nouveau départ, même si le favori des sondages risque d'avoir les pires difficultés à former sa coalition.
Après une crise politique inédite, l'Autriche retourne aux urnes dimanche et mise sur le chancelier sortant, Sebastian Kurz, pour prendre un nouveau départ, même si le favori des sondages risque d'avoir les pires difficultés à former sa coalition.
Avant un vote de confiance, le Premier ministre italien Giuseppe Conte a promis lundi d'engager l'Italie dans une "nouvelle ère réformatrice", tout en réclamant un coup de pouce de l'Europe sur les règles budgétaires et l'immigration.
Le Parlement autrichien a approuvé mardi une interdiction totale du glyphosate sur le territoire national, faisant de l'Autriche le premier pays de l'Union européenne à bannir l'herbicide controversé au nom du "principe de précaution".
Les tractations pour désigner les nouveaux dirigeants des institutions européennes vont commencer mardi entre les chefs d'Etat et au Parlement européen, engagés dans une lutte de pouvoir à l'issue incertaine.
Le chancelier autrichien Sebastian Kurz a été renversé lundi par une motion de censure adoptée par les principaux partis d'opposition, dix jours après le scandale de l'Ibizagate qui a fait exploser la coalition qu'il avait formée avec l'extrême droite.
Sebastian Kurz résistera-t-il au séisme de l'"Ibizagate" ? Confronté à une motion de censure, c'est désormais le chancelier autrichien qui est sur la sellette après le départ de ses alliés d'extrême droite minés par les allégations contre leur parti.
L'expérience d'un gouvernement droite-extrême droite paraît vivre ses dernières heures en Autriche, à quelques jours des élections européennes, avec le départ attendu de tous les ministres FPÖ, emportés par une sulfureuse vidéo où le leader nationaliste Heinz-Christian Strache était disposé à se compromettre avec la Russie.
Le Parti de la liberté d'Autriche (FPÖ) a annoncé lundi être prêt à retirer tous ses ministres du gouvernement formé avec les conservateurs, après la diffusion vendredi d'une vidéo où le leader nationaliste Heinz-Christian Strache s'était montré prêt à se compromettre avec la Russie.
La fin brutale en Autriche de la coalition entre conservateurs et extrême droite, dont une sulfureuse vidéo a entraîné la chute, bouscule la campagne pour les européennes du 26 mai et le jeu politique dans le pays, qui va retourner aux urnes après l'été.
La débâcle brutale en Autriche de la coalition entre conservateurs et extrême droite, dont une sulfureuse vidéo a précipité la chute, bouscule la campagne pour les européennes du 26 mai et le jeu politique dans le pays, qui va retourner aux urnes après l'été.
La brutale débâcle de la coalition autrichienne entre les conservateurs et l'extrême droite, dont une sulfureuse vidéo a précipité la chute, bouscule la campagne pour les élections européennes et le jeu politique dans le pays qui retournera aux urnes après l'été.
Séisme pour l'extrême droite autrichienne à huit jours des élections européennes: son chef, Heinz-Christian Strache, a été débarqué samedi du gouvernement de Sebastian Kurz après s'être compromis avec la pseudo-nièce d'un oligarque russe dans une mise en scène apparemment destinée à le confondre.
Le vice-chancelier d'extrême droite autrichien Heinz-Christian Strache a annoncé samedi sa démission après la révélation d'une tentative de compromission en lien avec la Russie, un coup de tonnerre à une semaine des européennes concernant une des principales figures d'extrême droite du continent.