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Des barrages routiers ont perturbé à nouveau le Liban jeudi, les manifestants voulant afficher une détermination qui n'a pas été entamée par la démission du gouvernement au début d'une 3e semaine de contestation sans précédent.
Des barrages routiers perturbent à nouveau le Liban jeudi, les manifestants voulant afficher une détermination qui n'a pas été entamée par la démission du gouvernement au début d'une 3e semaine de contestation sans précédent.
La droite menée par Matteo Salvini se dirigeait vers une large victoire dimanche en Ombrie, un fief de gauche, lors d'élections régionales considérées comme un test pour la jeune coalition au pouvoir entre la gauche et le Mouvement Cinq Etoiles, selon les premières projections.
Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a appelé vendredi ses partisans à déserter le centre de Beyrouth après des heurts avec des manifestants, au 9e jour d'une mobilisation inédite contre la classe politique qui paralyse le Liban.
Le Liban se prépare à de nouvelles manifestations lundi, journée cruciale pour un mouvement de contestation inédit contre la classe politique, le gouvernement devant se prononcer sur un plan de réformes proposé par le Premier ministre Saad Hariri.
Par dizaines de milliers, les Libanais sont descendus dimanche dans la rue pour réclamer le départ d'une classe politique jugée inapte et corrompue, au quatrième jour d'un mouvement de contestation inédit dans un pays éprouvé par de longues années de difficultés économiques.
A l'odeur, on se croirait dans une raffinerie. Au toucher, le brut imprègne tout de sa viscosité. Dans l'ouest du Venezuela, le lac de Maracaibo, dont les sous-sols regorgent de pétrole, vit "une marée noire permanente" alimentée par des oléoducs et des puits en manque cruel d'entretien.
De nouvelles manifestations en Egypte contre le président Abdel Fattah al-Sissi, accusé de corruption, pourraient mettre le feu aux poudres vendredi avec le risque d'une répression féroce dans un pays où toute protestation contre le pouvoir est interdite.
L'ex-président zimbabwéen Robert Mugabe, décédé le 6 septembre à l'âge de 95 ans, sera finalement enterré dans son village natal et non au Panthéon national à Harare, nouveau rebondissement du feuilleton qui oppose sa famille à son successeur, Emmerson Mnangagwa.
La Bulgare Kristalina Georgieva est devenue officiellement mercredi la seconde femme à diriger le Fonds monétaire international (FMI) avec pour premier objectif d'aider les pays membres à faire face au ralentissement économique.
Elle est habituée à être la première femme à occuper des postes de direction influents. Elle parle franchement aux hommes au pouvoir. Christine Lagarde voit dans les menaces pesant sur l'économie mondiale la conséquence de mauvaises politiques et exhorte à les changer.
Le Zimbabwe rend samedi un dernier hommage national à son ancien et très controversé président Robert Mugabe, "héros" acclamé de l'indépendance d'un pays qu'il a fini par laisser exsangue au bout d'un règne autoritaire de trente-sept longues années.
Les proches de Robert Mugabe ont finalement accepté vendredi que l'ex-président du Zimbabwe soit enterré au monument dédié aux "héros" du pays à Harare, nouveau rebondissement dans le bras de fer qui oppose la famille du défunt au gouvernement.
Le corps de Robert Mugabe a quitté mercredi Singapour, où l'ex-président du Zimbabwe est décédé le 6 septembre à l'âge de 95 ans, à destination de son pays où il doit être inhumé après un hommage national, a annoncé son neveu Adam Molai.
C'est une mode internationale mais à Cuba, elle a une saveur spéciale : la barbe fleurit depuis quelques mois sur les visages des jeunes Cubains, mais sans la signification politique donnée par Fidel Castro et ses rebelles "barbus" lors de la révolution de 1959.