"Ce sont des traces tellement faibles qu'il n'est pas question de précautions particulières pour la santé (...) non, vraiment pas de danger", a déclaré Mme Kosciusko-Morizet à l'issue du Conseil des ministres.
"Il pourrait s'agir de traces radioactives extrêmement faibles, tellement faibles qu'elles pourraient ne pas être détectées sur notre réseau de balises qui mesurent en permanence la radioactivité et seulement être détectées au bout de quelques jours sur le fond de radioactivité", a-t-elle poursuivi.
"Il s'agit de doses très, très faibles qui n'appellent aucune précaution particulière. Simplement, par souci de transparence et de cohérence (...) à partir du moment où on avait cette modélisation des circulations atmosphériques, on a voulu le dire aux Français", a insisté NKM.
Selon l'Autorité de sûreté nucléaire, qui se fonde sur les simulations et les calculs de l'Institut de Radioprotection et de Sûreté nucléaire (IRSN), le nuage provenant des rejets de la centrale accidentée devait atteindre la métropole française mercredi.
AFP.
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