Retrouvez l'actualité sur les sujets ministre de la transition Écologique avec Tendance Ouest | Page 5
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousAccusée d'avoir mis le feu aux poudres, la taxe carbone semblait avoir été sacrifiée sur l'autel des "gilets jaunes". Deux mois plus tard, la fiscalité écologique est de retour à l'occasion du grand débat, par des ministres et des députés qui ne veulent pas renoncer à cet "outil efficace".
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDénonçant "un acte grave", le président LREM de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, a dit porter plainte vendredi soir après une tentative d'incendie "volontaire" à son domicile privé dans le Finistère, dont "l'origine criminelle ne semble pas faire de doute".
Le maire écologiste de Grande-Synthe (Nord), Damien Carême, a annoncé mercredi engager un recours contre l'Etat pour "non respect de ses engagements climatiques" devant le Conseil d'Etat, initiative présentée comme une première en France.
Alors que la date de 2022 a été annoncée pour la fermeture des quatre centrales à charbon encore présentes en France, François de Rugy, le ministre de la transition écologique, accorde un délai à la centrale de Cordemais (Loire-Atlantique). Une réflexion est lancée sur l'Ecocombust. Au Havre (Seine-Maritime), cette reconversion industrielle avait déjà été évoquée.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousÉdouard Philippe a reçu vendredi une grande partie des syndicats, sans leur donner de précisions sur l'organisation du grand débat national attendu la semaine prochaine, avant des représentants du secteur associatif, sur fond de crise des "gilets jaunes".
Chantal Jouanno, la présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP), qui est chargée de l'organisation du "grand débat national", est au coeur d'une polémique, notamment sur les réseaux sociaux, après la révélation de son salaire de 14.666 euros bruts mensuels.
Le gouvernement a affiché vendredi à la fois sa fermeté et son ouverture à la veille d'une nouvelle mobilisation des "gilets jaunes", en opposant "les agitateurs" qui "veulent renverser le gouvernement" aux "gens sincères" avec lesquels l'exécutif est "prêt à discuter".
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe porte-parole du gouvernement a appelé jeudi les "gilets jaunes" à ne pas manifester samedi, tandis que le président de l'Assemblée nationale et le ministre de la Transition écologique les exhortaient à complètement cesser leur mouvement.
Après les annonces, place au service après-vente: l'exécutif tente mardi de convaincre que les mesures sociales déclinées la veille par Emmanuel Macron répondent aux demandes des "gilets jaunes", nombreux à se déclarer déçus et à vouloir poursuivre leur mobilisation.
Face à la fronde des "gilets jaunes", qui menacent de réinvestir Paris samedi malgré des concessions du gouvernement, la présidence française a dit craindre "une très grande violence" et a appelé au calme.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLes appels pressants lancés à l'exécutif pour qu'il fasse un geste se multiplient vendredi, avant une rencontre prévue à 14H00 à Matignon entre Édouard Philippe et une délégation de "gilets jaunes" aux contours incertains.
Emmanuel Macron a écarté tout "recul" alors qu'Edouard Philippe doit recevoir des "gilets jaunes" vendredi, à la veille de l'acte III de cette mobilisation moins visible dans la rue mais de plus en plus populaire.
L'exécutif, confronté à une colère sociale puissante mais encore peu organisée, espère lancer enfin la discussion avec les "gilets jaunes", dont une délégation doit être reçue à Matignon vendredi, veille d'une nouvelle mobilisation partout en France et sur les Champs-Élysées.
Une délégation de "gilets jaunes", dont la composition reste à définir, sera reçue vendredi par le Premier ministre Édouard Philippe, à la veille de "l'acte 3" de leur mobilisation, ont annoncé jeudi des représentants du mouvement et Matignon.
Édouard Philippe a défendu mercredi la ligne "déterminée" mais "raisonnable" de l'exécutif face au mouvement des "gilets jaunes", qu'il se dit désormais prêt à recevoir et qu'il souhaite associer à la concertation voulue par Emmanuel Macron.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous