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Contactez-nousLe négociateur en chef de l'UE Michel Barnier a salué vendredi "l'esprit constructif" du discours sur le Brexit de la Première ministre britannique Theresa May à Florence (Italie), tout en demandant des détails sur ses "implications concrètes".
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Contactez-nousDéterminée à relancer les négociations de sortie de l'UE, Theresa May a plaidé vendredi pour un Brexit "soft" avec une période de transition de deux ans et s'est engagée à honorer les engagements financiers britanniques vis à vis des Européens.
Six mois après avoir officiellement lancé la procédure de divorce avec l'Union européenne, la Première ministre britannique Theresa May s'apprête à préciser comment elle voit l'avenir, dans un discours vendredi à Florence dont les Européens espèrent des propositions concrètes.
La Première ministre britannique, Theresa May, a convoqué son gouvernement jeudi dans une tentative de rassembler des ministres divisés derrière sa stratégie sur le Brexit, à la veille de son discours très attendu à Florence.
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Contactez-nousUne nouvelle session de négociations s'ouvre lundi à Bruxelles dans un climat tendu, entre des Britanniques impatients de discuter de futurs accords commerciaux avec l'UE et des Européens exigeant de se concentrer d'abord sur l'organisation de leur divorce.
Le gouvernement britannique souhaite un accord d'union douanière intérimaire d'environ deux ans avec l'UE après le Brexit, qui lui permettrait de continuer à bénéficier de ses dispositions tout en négociant ses propres accords commerciaux, une proposition froidement accueillie par Bruxelles.
La Grande-Bretagne est prête à payer jusqu'à 40 milliards d'euros à l'Union européenne dans le cadre du règlement financier qui accompagnera sa sortie de l'Union, affirme le Sunday Telegraph, citant des sources gouvernementales.
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Contactez-nousL'UE à 27 et le Royaume-Uni entrent lundi dans le vif du sujet lors d'un deuxième round de négociations à Bruxelles pour déterminer les conditions de leur divorce, au moment où Londres se met progressivement en ordre de bataille.
Son arrivée au pouvoir semblait une accalmie dans la tempête déclenchée par le vote pour le Brexit: un an plus tard, Theresa May est un Première ministre en sursis et les contours du Brexit sont de plus en plus flous.
L'Union européenne et le Royaume-Uni se sont accordés lundi sur les priorités et le calendrier des négociations sur le Brexit, à l'issue de la première rencontre entre les négociateurs des deux parties à Bruxelles.
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Contactez-nousUn an après le séisme du référendum britannique, les négociations du Brexit démarrent officiellement lundi à Bruxelles, où les Européens craignent que la fragilité du gouvernement de Theresa May ne complique ces tractations historiques.
Près d'un an après le référendum sur l'UE, les négociations sur le Brexit débutent lundi dans un contexte difficile pour Theresa May, affaiblie par son revers aux législatives et les critiques sur sa réaction à l'incendie de la tour Grenfell.
Quelques heures après avoir promis de respecter le calendrier des négociations du Brexit, à Paris, la Première ministre britannique Theresa May va tenter mercredi à Londres de trouver un accord avec le parti nord-irlandais du DUP, pour retrouver sa majorité absolue aux Communes.
La Première ministre britannique Theresa May va former un nouveau gouvernement qui, a-t-elle martelé vendredi, "mènera à bien le Brexit", malgré la perte par son parti conservateur de la majorité absolue au Parlement et les appels à sa démission.
Elus et responsables européens craignaient vendredi de voir les négociations sur le Brexit capoter après la surprise des élections législatives britanniques, qui ont vu les conservateurs de Theresa May perdre leur majorité absolue au Parlement.
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