L'histoire a comme départ le football. Un jeune prodige français vient de signer avec le club de foot de Barcelone, ce qui attire les projecteurs sur lui et sur le pays dont est originaire sa mère : le Botswanga. Son président, un militaire qui vient de faire un coup d'état, souhaite décorer le prodige sportif.
Pour les fans de football, c'est tout ce que vous aurez, pas de match ici, c’est juste le prétexte pour pouvoir plaisanter sur l'Afrique et ses fantasmes.
Dans case départ, le premier film de Fabrice Eboué et Thomas N'gijol, ils ont utilisé l'humour sur le thème délicat de l'esclavage et de la traite de noirs. Ca a été un beau succès.
Mais ici malheureusement ils ne rééditent pas la chose. Non pas qu'on ait uniquement des blagues nulles, mais l'ensemble manque de cohérence.
Il y a plusieurs passages qui font mouche mais en l'absence de liant entre les scènes et d'un fil rouge intéressant pour le spectateur, on ressort de la salle déçu.
Le crocodile du Botswanga, une comédie moins réussie que Case départ, avec des personnages haut en couleurs mais une histoire mal menée.
Le film du jour: Le crocodile du Botswanga
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