Retrouvez l'actualité sur les sujets damas avec Tendance Ouest | Page 40
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Contactez-nousDes milliers de personnes attendaient samedi dans le froid et la faim la reprise des évacuations de la dernière poche rebelle d'Alep, alors que le président américain Barack Obama dénonçait "l'horreur" de la situation dans la deuxième ville de Syrie.
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Contactez-nousLe président américain Barack Obama a réclamé le déploiement "d'observateurs impartiaux" dans la ville syrienne d'Alep ravagée par "un assaut sauvage" du régime qui a de nouveau suspendu les évacuations de civils et de rebelles.
La province d'Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie, est un des derniers bastions de la rébellion échappant encore au régime du président Bachar al-Assad après cinq ans et demi de guerre.
Le président syrien Bachar al-Assad, voué aux gémonies par l'Occident et les pays arabes du Golfe, a déjoué tous les pronostics sur sa chute grâce à sa conviction d'être indéboulonnable, mais surtout au soutien indéfectible des Russes et des Iraniens, estiment les analystes.
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Contactez-nousLes rebelles et les civils qui le souhaitent, attendaient d'être évacués d'Alep après un accord conclu sous la houlette de la Russie et de la Turquie, une opération qui marquera la fin de plus de quatre ans de rébellion dans la deuxième ville de Syrie.
Les forces syriennes pro-gouvernementales ont tué au moins 82 civils, dont des femmes et des enfants, dans des quartiers d'Alep-Est qu'elles ont repris aux rebelles, a annoncé mardi l'ONU.
Alors qu'Alep est sur le point de tomber totalement aux mains du régime, après quatre semaines d'une offensive dévastatrice contre les rebelles, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon s'est alarmé lundi des informations y faisant état d'atrocités récentes contre des civils.
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Contactez-nousLa prise inéluctable d'Alep marque un moment décisif dans la guerre en Syrie car elle conforte le régime victorieux dans sa volonté de reconquérir le pays tandis que les rebelles auront du mal à se relever, estiment les analystes.
La Russie, alliée clé du régime de Bachar al-Assad, a annoncé jeudi un arrêt des raids aériens et des tirs d'artillerie de l'armée syrienne sur les quartiers rebelles d'Alep, une mesure censée assurer l'évacuation de milliers de civils pris au piège des violences.
Le régime syrien a déployé jeudi des centaines de soldats d'élite pour conquérir les quartiers les plus peuplés d'Alep-Est et accélérer la chute de ce bastion rebelle, qui risque selon l'ONU de se transformer en un "gigantesque cimetière".
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Contactez-nousL'ONU condamne la "descente aux enfers" vécue par les civils à Alep-Est, où des milliers d'entre eux fuient les combats et les bombardements à mesure qu'avancent les forces du régime syrien face à des rebelles aux abois.
Près de 20.000 personnes ont fui Alep-Est au cours des dernières 72 heures, a indiqué mardi à Genève une porte-parole du Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
La Syrie a qualifié lundi de "campagne mensongère" les accusations des "pays occidentaux" assurant que Damas a eu recours à des armes chimiques au cours du conflit sanglant qui ravage le pays depuis plus de cinq ans.
Les rebelles syriens ont perdu le contrôle de tout le nord-est de leur bastion d'Alep, a rapporté lundi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), alors que les troupes du régime poursuivaient leur offensive pour reprendre la totalité de la ville septentrionale.
Le pouvoir syrien a annoncé s'être emparé du plus grand quartier de la partie rebelle et assiégée d'Alep, ce qui pourrait constituer une percée majeure dans son offensive pour reprendre la totalité de la deuxième ville de Syrie.
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