La mer, le soleil, les quais, le "bon air", le doux tintement des gréements de voiliers au port et... les goélands qui "pleurent", comme le signifierait l'origine bretonne de leur désignation : gwelan.
Jolie carte postale
La carte postale est belle et fait rêver les "petits parisiens". L'autochtone, lui, est plus... nuancé. Le goéland, ou plutôt les goélands, les "bataillons" de goélands, sont aussi ceux qui répandent leurs déjections partout en ville en d'immenses fresques abstraites, ceux qui éventrent les poubelles en quête de festins et qui chantent leur désespoir en des sanglots longs et interminables... Bref ils sont beaux mais... encombrants.
Célia Caradec, journaliste cherbourgeoise de la rédaction de Tendance Ouest, qui vit et travaille au quotidien en compagnie de nos amis argentés, a son avis sur le sujet.
Célia CARADEC - Edito Goélands
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