Retrouvez l'actualité sur les sujets Mossoul avec Tendance Ouest | Page 18
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Contactez-nousPrès d'un-demi million d'habitants de la ville irakienne de Mossoul sont confrontés à une pénurie d'eau potable aux "conséquences catastrophiques", a déclaré mercredi à l'AFP la coordinatrice des opérations humanitaires de l'ONU en Irak, Lise Grande.
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Contactez-nousAttaqué en Irak dans son fief de Mossoul, le groupe Etat islamique (EI) riposte avec des drones piégés, un nouveau mode d'action pris très au sérieux par des pays occidentaux à cran face aux risques d'attentats.
"Poulet, tomates, cigarettes!", crie un vendeur sur le marché de Gogjali, aux portes de Mossoul: dans cette localité tout juste libérée du groupe Etat islamique (EI), les habitants commencent à reprendre une vie normale, loin des interdits imposés par les jihadistes.
"Tout le monde à Mossoul sait qui sont les terroristes": le lieutenant Ali fait partie d'une équipe des forces spéciales irakiennes chargées de démasquer les jihadistes dans le flot de civils fuyant les combats.
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Contactez-nous"Les habitants nous accueillent avec des youyous et des sucreries, mais la moitié de la victoire leur revient", affirme un commandant des forces irakiennes qui libèrent rue après rue les quartiers de l'est de Mossoul.
Après avoir vécu pendant deux ans sous le joug du groupe État islamique (EI) puis survécu à l'offensive militaire lancée pour les libérer, les civils déplacés du nord de l'Irak affrontent aujourd'hui une nouvelle épreuve: le froid.
Les forces irakiennes resserrent l'étau à Mossoul sur le groupe Etat islamique (EI), désormais quasiment encerclé mais qui continue de frapper loin de la ligne de front, à l'image d'un attentat antichiite qui a fait des dizaines de morts au sud de Bagdad.
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Contactez-nousUn attentat revendiqué par le groupe Etat islamique (EI) a tué au moins 70 pèlerins chiites jeudi au sud de Bagdad, la dernière d'une série d'attaques perpétrées depuis le début de la vaste offensive lancée à Mossoul pour déloger les jihadistes de leur fief.
Les troupes irakiennes ont coupé mercredi la dernière voie d'approvisionnement des jihadistes du groupe Etat islamique (EI) entre Mossoul et la Syrie, resserrant l'étau sur la deuxième ville d'Irak où doit encore se jouer une bataille urbaine.
Devant l'autel détruit, le père Charbel Issou écarte les bras, paumes vers le ciel, et entame sa prière devant une pieuse assemblée de combattants irakiens, kalachnikov en bandoulière.
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Contactez-nousLa coalition internationale emmenée par Washington a détruit mardi un pont-clé à Mossoul afin d'isoler les jihadistes du groupe Etat islamique (EI), dont la résistance acharnée fait craindre un enlisement de la bataille pour reprendre la deuxième ville d'Irak.
Casque rouge sur la tête et masque sur la bouche, des pompiers émergent, épuisés, d'une épaisse colonne de fumée qui s'échappe d'un puits de pétrole dans le nord de l'Irak.
Des millions de musulmans chiites se frappant la poitrine se sont rassemblés dimanche dans la ville sainte irakienne de Kerbala, placée sous la surveillance de milliers de membres des forces de sécurité.
"Si vous avez des noms, donnez-les nous! Si vous avez n'importe quelle information, nous la voulons", lance un policier irakien à des hommes massés devant les portes d'une mosquée dans un quartier de Mossoul repris au groupe Etat islamique (EI).
"Ici, même nos traditions ont perdu leur saveur": déracinés dans un camp après avoir fui le groupe Etat islamique (EI), Solaf Hossein et sa famille craignent de perdre leur culture yézidie même si les forces irakiennes progressent contre les jihadistes.
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