Retrouvez l'actualité sur les sujets frappes aériennes avec Tendance Ouest | Page 10
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Contactez-nousL'armée syrienne faisait face mardi à une résistance acharnée du groupe État islamique (EI) aux portes de Deir Ezzor (est), en tentant de briser le siège imposé par les jihadistes aux enclaves gouvernementales, ont rapporté un journaliste local et une ONG.
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Contactez-nousDans la vieille ville de Raqa, des combattants des Forces démocratiques syriennes (FDS) patrouillent, fusil d'assaut en bandoulière. Le quartier a été repris aux jihadistes du groupe Etat islamique (EI), mais ces derniers multiplient les contre-attaques.
Au moins 30 Yéménites, dont des civils, ont été tués mercredi dans des frappes aériennes sur la capitale Sanaa au moment où l'alliance entre l'ex-président Ali Abdallah Saleh et les rebelles chiites Houthis connaît de sérieuses fissures.
Les talibans et le groupe Etat islamique (EI) sont accusés de coopération dans un district excentré du nord de l'Afghanistan, où plus de 50 personnes, majoritairement des civils chiites, ont été abattues, nouvelle preuve selon les autorités d'alliances ponctuelles entre les deux groupes.
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Contactez-nousLe groupe ultraradical Etat islamique (EI) multiplie les contre-attaques à Raqa à mesure qu'il se retrouve cerné dans son principal fief en Syrie, ont confié à l'AFP des combattants antijihadistes sur le terrain.
A Mossoul, les disparus sont partout, et les familles arpentent la ville à la recherche d'un signe de vie d'un proche déplacé ou arrêté ou pour retrouver une trace d'un corps familier enseveli sous les décombres.
Onze civils ont été tués en 24 heures entre lundi et mardi soirs par des bombardements aériens sur une ville rebelle de Syrie près de Damas, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
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Contactez-nousLa ville syrienne de Raqa était secouée lundi par de violents bombardements et combats, alors que les forces soutenues par Washington ont affirmé avoir repris un nouveau quartier dans ce fief du groupe jihadiste Etat islamique (EI).
"Ma maison a été réduite en poussière", se lamente Yassine Najem, un habitant de Mossoul installé dans un camp de déplacés près de la deuxième ville d'Irak. Pour lui comme pour des milliers d'autres personnes, le retour n'est qu'un rêve lointain.
Si les civils fuient par milliers le fief jihadiste de Raqa en Syrie, Amal Cheikh Ways a elle décidé de faire le trajet inverse pour enterrer, au péril de sa vie, les corps de ses proches.
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Contactez-nousPrès du vieux Mossoul ravagé par les combats, Maher Al-Nejmawi observe avec satisfaction un ouvrier en train de repeindre son échoppe, abandonnée depuis plusieurs mois.
Immeubles aplatis, décombres à perte de vue et véhicules calcinés. Le Vieux Mossoul, autrefois le coeur battant de la deuxième ville d'Irak, n'est plus qu'un immense champ de ruines après des semaines de combats acharnés entre forces armées et jihadistes.
Raqa a longtemps tiré profit de l'Euphrate, le fleuve qui traverse cette ville syrienne. Mais aujourd'hui, des habitants assoiffés sont prêts à risquer leur vie pour s'approvisionner en eau sur fond de combats entre le groupe Etat islamique (EI) et les forces antijihadistes.
Israël a ciblé samedi une position de l'armée syrienne, après que des tirs ont frappé le plateau du Golan occupé par l'Etat hébreu, a annoncé l'armée.
Le groupe État islamique (EI) est depuis jeudi pris au piège dans sa place forte syrienne de Raqa, un nouveau revers pour cette organisation tant redoutée qui perd partout du terrain alors que ses finances s'épuisent.
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